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Des mots & des photos
Ciel et Mer
Entre ciel et mer je flotte.
Je flotte dans l’eau et plane dans l’air. Ma manière de taire les démons de Lucifère. Un pas dans l’eau, un pas, je jette un coup d’œil vers là-haut, oui, c’est bon, c’est beau. Un sourire et mon être se convertit. Je ris. C’est un rite, une manie. La joie est pure et jolie. Je flotte dans l’eau, je flatte le silence ranime ma peau. Je plane dans l’air, je sacralise la perfection de cet éther.
Je flotte dans l’eau et plane dans l’air. Ma manière de taire les démons de Lucifère. Un pas dans l’eau, un pas, je jette un coup d’œil vers là-haut, oui, c’est bon, c’est beau. Un sourire et mon être se convertit. Je ris. C’est un rite, une manie. La joie est pure et jolie. Je flotte dans l’eau, je flatte le silence ranime ma peau. Je plane dans l’air, je sacralise la perfection de cet éther.
C'était une fête
C'était une fête, voilà, juste une fête où son esprit ne voyait plus, broyé par la substance qu’elle avait avalée sans réfléchir, elle sentit son corps s’affaiblir. Le suc n’était pas la cause. Le suc était l’arôme. La quintessence pour honorer la résistance de son essence. Sans réfléchir, sans s’incliner, sans s’attendrir elle avala cette sève pour honorer le rien, ce rien qu’elle a toujours été. Ce rien qu’avec honneur on lui avait attribué. Juste une fête, voilà tout, une fête pour cramer sa vision, son âme, son esprit. Une fête faite de rien pour composer l’apparence d’une théorie de vie.
Ephémère
Il existe des papillons qui ne volent pas. Ils sont là pour plaire et distraire. Leur existence est malheureusement éphémère. Leur beauté est pourtant sincère. Ils aspirent à une grâce. Ils éblouissent. Ils aveuglent les vampires qui menacés, par tant de luminosité, tariront, sans scrupule, leur vénusté. Les Vampires, vous savez, sous leurs airs d’humilité, ne désirent que médiocrité. Jolis papillons, je vous implore, faites attention aux charmes qui dévorent.
Libre et éternel
Rouge, était ta toile
Puissant d’amour, était ton sang
De force et d’énergie transpirait la vie
Rouge, était ta toile
Un danger, une révolte miroitant comme une étoile.
Une rage crie, tu souris.
Puissant d’amour, était ton sang
De force et d’énergie transpirait la vie
Rouge, était ta toile
Un danger, une révolte miroitant comme une étoile.
Une rage crie, tu souris.
Il ne reste rien- parole d'un ami
A la matière noir, je vois la phase de putréfaction
Dis-moi, pourquoi ce papillon si beau et si léger, ne vivrait que trois jours et la putréfaction, avec son odeur affreuse et sa noirceur, des semaines.
Est-ce la nature qui est mal faite ou moi qui n'ai encore rien compris?
(dialogue sur la colline avec Steve 1969-2023)
Dis-moi, pourquoi ce papillon si beau et si léger, ne vivrait que trois jours et la putréfaction, avec son odeur affreuse et sa noirceur, des semaines.
Est-ce la nature qui est mal faite ou moi qui n'ai encore rien compris?
(dialogue sur la colline avec Steve 1969-2023)
Le papillon
Comme une peinture maladroite
L’imaginaire, une boite
L’enfer le frappe.
L’imaginaire, une boite
L’enfer le frappe.
L’obscurité bouleversée
Ces derniers jours je n'ai rien vu de bien,
Rien entendu je n'ai même pas pu rapporter quelques mots évaporés, rêveurs, légers, écervelés
Ma tête saccagée et l’âme bouleversée, j’ai épuré, filtré et clarifié
Un moment l'obscurité, un scintillement, là-bas dans le lointain.
Rien entendu je n'ai même pas pu rapporter quelques mots évaporés, rêveurs, légers, écervelés
Ma tête saccagée et l’âme bouleversée, j’ai épuré, filtré et clarifié
Un moment l'obscurité, un scintillement, là-bas dans le lointain.
Tout un monde
Peut-être que si tout le monde devenait fou au même moment, peut-être, que ma nature semblerait tout à fait normal, peut-être ?
Fenêtre sur un rêve
J'ai plein de rêves mais je ne sais pas par lequel commencer!
Derrière la frontière
Il traversa la frontière de la foi
Fidèle à sa propre parole
Il s’engagea
Comme l’oiseau s’envole
Ses ailes, il déploya.
Fidèle à sa propre parole
Il s’engagea
Comme l’oiseau s’envole
Ses ailes, il déploya.
Ta maison ta mer
L’océan conquit la maison
Médusée, je sentis sa déclinaison
Un bruit sourd m’éveilla
Ouvrant les yeux je compris que j’avais touché le sol froid.
Médusée, je sentis sa déclinaison
Un bruit sourd m’éveilla
Ouvrant les yeux je compris que j’avais touché le sol froid.
Le révèrbère
C'était une nuit profonde
Elle était belle et ronde
Je me suis rapprochée autant que je le pouvais
Je désirais tant la toucher
Et j'ai vu, oh oui, de mes yeux je l'ai vu dans l'absence de lumière
Cette lune était un sublime réverbère.
Elle était belle et ronde
Je me suis rapprochée autant que je le pouvais
Je désirais tant la toucher
Et j'ai vu, oh oui, de mes yeux je l'ai vu dans l'absence de lumière
Cette lune était un sublime réverbère.
Vivre
Tout commence ici.
Un chemin
Quel est le bon chemin ?
Ils sont tous bons !
Oui, mais quel est le meilleur chemin ?
Celui que tu apprivoiseras.
Ils sont tous bons !
Oui, mais quel est le meilleur chemin ?
Celui que tu apprivoiseras.
Le reflet
Je vois ton visage
Il est doux et sage.
Il est doux et sage.
Les étincelles du coeur
Absorbée par mes émotions mal contrôlées
J’ai essoufflé la vigueur qu’éclairait mon cœur
De cette erreur, une loyauté s’est brisée.
J’ai essoufflé la vigueur qu’éclairait mon cœur
De cette erreur, une loyauté s’est brisée.
Le Messager
Le messager de la foudre et du tonnerre m'a dit
Je ne sais ce qu'il m'a dit
Il faisait trop de bruit
Je ne sais ce qu'il m'a dit
Il faisait trop de bruit
L'oiseau
J'ai rencontré un oiseau de fer
Ses plumes étaient aussi douces que l'aurore en hiver.
Ses plumes étaient aussi douces que l'aurore en hiver.
Les cœurs
Tu refuses le savoir de ton âme
Tu imoles ton esprit, ton cœur, ta vie.
Tu imoles ton esprit, ton cœur, ta vie.
Les images
D'où viennent toutes ces images que j'ai bien voulu t'écrire?
Là-bas
Je suis perdue dans le labyrinthe de mes émotions.
J'avance pour m'approcher de ce "là-bas c'est mieux". Quand j'y suis, rien ne change.
Là-bas sera toujours là au fond de moi.
J'avance pour m'approcher de ce "là-bas c'est mieux". Quand j'y suis, rien ne change.
Là-bas sera toujours là au fond de moi.
Une journée
Je l'ai rencontré. Une fois seulement.
Il m'a embrassé.
Teindre une journée par le sang.Je descends enragée
Il m'a embrassé.
Teindre une journée par le sang.Je descends enragée
Les choses
Il y a des choses bizarre sur mon chemin de vie. Je ne peux les expliquer
L'usure
"Observe le réel." Me disait-il.
Je l'observe. Il m'apparaît si triste.
Je l'observe. Il m'apparaît si triste.
Les lueurs d’espoirs
C'est dans l'obscurité fondamentale qu'elles papillotent la première fois.
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